En 1983 Isabelle Adjani est au Festival de Cannes pour présenter « L’été meurtrier » de Jean Becker. La star s’attire rapidement les foudres des photographes en refusant de se présenter lors du traditionnel photo call. Ils qualifient l’actrice de « diva » et déposent symboliquement leurs appareils à ses pieds pendant la montée des marches du film, tout en lui tournant le dos.
Super merci j'adore ces photos elle est magnifique...
RépondreSupprimerapparemment il y a eu des photographes puisque des photos existent ...pas des clichés amateurs
RépondreSupprimerC'était plus facile pour elle de "désobéir" à l'époque car elle faisait du cinéma: un acteur concentré sur son travail, surtout à l' époque, on lui demande moins de se justifier(même si on la siffle et qu'on pose les appareils).Mais un acteur qui ne tourne pas, on se dit "et en plus il n'est même pas fichu de donner de ces nouvelles ou de promouvoir les rares films qu'il fait" ça devient vite problématique, c'est ce qui en partie, a généré la vilaine rumeur sur le sida. Si elle avait tourné à cette époque-là (en fait elle avait fait "Ishtar" mais aux USA et un petit rôle après de longs mois d' absence), la rumeur n'aurait pas pris. Ce monde médiatique est bien cruel...
RépondreSupprimerDonc si je vous comprends bien, Blanc Bougnat, Isabelle est en grande partie responsable de cette rumeur? Parce qu'elle ne tournait pas assez? Moi, je lui trouve une très grande audace à cette femme et surtout, une exigence. Bravo Isabelle. Continuez ainsi (R.B)
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