de la Star
La charente libre qui diffuse toute l'actualité du festival on lui doit également cette photo signée Quentin Petit
et 2 vidéos où l'on voit isabelle descendre les marches
ATICLE :
Ce jeudi soir, il aura fallu être patient pour avoir la chance de voir Isabelle Adjani au CGR d'Angoulême. La star qui tient le rôle principal du film "Carole Matthieu" réalisé par Louis-Julien Petit, était attendue pour l'avant- première. Initialement, toute l'équipe devait arriver à 20h15, mais les salles encore pleines du cinéma imposaient de patienter. 15 minutes, puis 30. C'est au bout de 45 minutes que la star est finalement arrivée.
Les fans ne lui en ont pas tenu rigueur. Tous préoccupés à obtenir une photo avec l'actrice. Elle a pris le temps de s'arrêter pour signer des autographes et prendre quelques selfies, avant de présenter "Carole Matthieu" avec ses coéquipiers.
Le parisien fait également un article
Évènement au Festival d'Angoulême, la star Isabelle Adjani, dont les apparitions sont rares, est venue présenter jeudi soir le thriller social "Carole Matthieu", où elle joue un médecin du travail dans une entreprise aux méthodes managériales implacables.
Très attendue, l'actrice de "Camille Claudel" et "La Reine Margot" est apparue devant les photographes vêtue d'une robe à fleurs et d'un chapeau de paille blanc, avant d'aller montrer "Carole Matthieu" au public d'Angoulême.
Ce film de Louis-Julien Petit ("Discount"), qui sera diffusé sur Arte et devrait ensuite sortir au cinéma, marque le retour de la comédienne deux ans après le film choral "Sous les jupes des filles" et sept ans après "La Journée de la jupe". Diffusé lui aussi aussi d'abord sur Arte, ce dernier film lui avait valu en 2010 son cinquième César de la meilleure actrice.
Dans "Carole Matthieu", dont Isabelle Adjani est productrice associée, adaptation du roman "Les Visages écrasés" de Marin Ledun, elle campe un personnage de médecin écartelé entre son travail et sa conscience.
En désaccord avec le harcèlement moral et l'humiliation pratiqués dans sa société, elle tente en vain d'alerter sa hiérarchie des conséquences sur les employés.
Un jour, alors que l'un d'eux est prêt à se suicider, elle décide de prendre les choses en mains pour forcer les dirigeants à revoir leurs méthodes.
L'actrice aux cinq César contribue à porter le film dans ce rôle de femme déterminée, à la fois forte et fragile, perturbée et mystérieuse, qui s'identifie à ses patients après avoir été elle-même victime d'une agression de la part d'un salarié désespéré.
"C'est le combat d'une femme et d'une femme qui va aller jusqu'à se sacrifier pour le bien-être des salariés qu'elle défend", a-t-elle dit à l'AFP.
"C'est plus un thriller social qu'un témoignage social, mais ça va raconter l'état de l'entreprise et révéler les coulisses de cette manipulation qui va jusqu'à à la déshumanisation", a-t-elle ajouté.
France TV info nous gratifie d'une photo supplémentaire ^^
et d'un article
Evénement au Festival d'Angoulême, la star Isabelle Adjani, dont les apparitions sont rares, est venue présenter jeudi soir le thriller social "Carole Matthieu", où elle joue un médecin du travail dans une entreprise aux méthodes managériales implacables.
Très attendue, l'actrice de "Camille Claudel" et "La Reine Margot" est apparue devant les photographes vêtue d'une robe à fleurs et d'un chapeau de paille blanc, avant d'aller montrer "Carole Matthieu" au public d'Angoulême.
Ce film de Louis-Julien Petit ("Discount"), qui sera diffusé sur Arte et devrait ensuite sortir au cinéma, marque le retour de la comédienne deux ans après le film choral "Sous les jupes des filles" et sept ans après "La Journée de la jupe". Diffusé lui aussi d'abord sur Arte, ce dernier film lui avait valu en 2010 son cinquième César de la meilleure actrice.
En désaccord avec le harcèlement moral et l'humiliation pratiqués dans sa société, elle tente en vain d'alerter sa hiérarchie des conséquences sur les employés.
Un jour, alors que l'un d'eux est prêt à se suicider, elle décide de prendre les choses en mains pour forcer les dirigeants à revoir leurs méthodes.
"C'est le combat d'une femme qui va aller jusqu'à se sacrifier pour le bien-être des salariés qu'elle défend", a-t-elle dit à l'AFP.
"C'est plus un thriller social qu'un témoignage social, mais ça va raconter l'état de l'entreprise et révéler les coulisses de cette manipulation qui va jusqu'à à la déshumanisation", a-t-elle ajouté.
Ce film de Louis-Julien Petit ("Discount"), qui sera diffusé sur Arte et devrait ensuite sortir au cinéma, marque le retour de la comédienne deux ans après le film choral "Sous les jupes des filles" et sept ans après "La Journée de la jupe". Diffusé lui aussi d'abord sur Arte, ce dernier film lui avait valu en 2010 son cinquième César de la meilleure actrice.
Un personnage de médecin écartelé entre son travail et sa conscience
Dans "Carole Matthieu", dont Isabelle Adjani est productrice associée et qui est une adaptation du roman "Les Visages écrasés" de Marin Ledun, elle campe un personnage de médecin écartelé entre son travail et sa conscience.En désaccord avec le harcèlement moral et l'humiliation pratiqués dans sa société, elle tente en vain d'alerter sa hiérarchie des conséquences sur les employés.
Un jour, alors que l'un d'eux est prêt à se suicider, elle décide de prendre les choses en mains pour forcer les dirigeants à revoir leurs méthodes.
Le combat d'une femme
L'actrice aux cinq César contribue à porter le film dans ce rôle de femme déterminée, à la fois forte et fragile, perturbée et mystérieuse, qui s'identifie à ses patients après avoir été elle-même victime d'une agression de la part d'un salarié désespéré."C'est le combat d'une femme qui va aller jusqu'à se sacrifier pour le bien-être des salariés qu'elle défend", a-t-elle dit à l'AFP.
"C'est plus un thriller social qu'un témoignage social, mais ça va raconter l'état de l'entreprise et révéler les coulisses de cette manipulation qui va jusqu'à à la déshumanisation", a-t-elle ajouté.
Enfin également pleins de photos estampillées Getty images ...
Lci consacre aussi un article à cet événement avec une jolie photo
L'INSTANTANÉ PHOTO - Plutôt discrète, Isabelle Adjani a fait l'une de ses rares apparitions publiques jeudi au Festival d'Angoulême. L'occasion de prouver que le temps n'a pas vraiment d'emprise sur elle.
Article LiBERATION
Isabelle Adjani: «j’ai une exigence pour les films qu’il me reste»
Petit reportage BFM
ave une trop courte interview d'isabelle et un discours plutôt dithyrambique de la journaliste sur le film et la prestation d'isabelle
Lien BFM
Merci à Martin pour le lien
Reportage sur France 3 national
Emission Cinéma animé par B Montiel, interview du réalisateur Louis julien Petit
CI Né Ma - Emission 166 from Agence Ciné on Vimeo.
Lci consacre aussi un article à cet événement avec une jolie photo
L'INSTANTANÉ PHOTO - Plutôt discrète, Isabelle Adjani a fait l'une de ses rares apparitions publiques jeudi au Festival d'Angoulême. L'occasion de prouver que le temps n'a pas vraiment d'emprise sur elle.
LE CONTEXTE
Quelques jours à peine après son coup d'envoi le 23 août dernier, le Festival du film francophone d'Angoulême a accueilli jeudi une des grandes stars du septième art français qui distille ses apparitions publiques au compte-gouttes : Isabelle Adjani. Plutôt discrète, l'actrice est venue présenter jeudi soir le thriller social Carole Matthieu dans lequel elle joue un médecin du travail dans une entreprise aux méthodes managériales implacables. Attendue de pied ferme par le public et les photographes, la comédienne en a profité pour faire quelques confidences sur ce rôle de femme déterminée, à la fois forte et fragile, perturbée et mystérieuse. "C'est le combat d'une femme et d'une femme qui va aller jusqu'à se sacrifier pour le bien-être des salariés qu'elle défend (...) C'est plus un thriller social qu'un témoignage social, mais ça va raconter l'état de l'entreprise et révéler les coulisses de cette manipulation qui va jusqu'à à la déshumanisation", a-t-elle confié à l'AFP.
LA PHOTO
Jérôme Domine
Très attendue, l'actrice de Camille Claudel et La Reine Margot est apparue devant les photographes vêtue d'une robe à fleurs et d'un chapeau de paille blanc, avant d'aller montrer Carole Matthieu au public d'Angoulême. A 61 ans, la comédienne avait l'air toujours aussi jeune et mystérieuse ; de quoi alimenter le mythe "Isabelle Adjani".
Article LiBERATION
Isabelle Adjani: «j’ai une exigence pour les films qu’il me reste»
Venue au Festival d’Angoulême présenter son dernier film, un thriller social où elle joue un médecin du travail, Isabelle Adjani, se veut «exigeante pour les films et les rôles qu’il lui reste à faire exister», dans un entretien à l’AFP.
Devenue rare au cinéma, l’actrice de «L’Eté meurtrier» et «La Reine Margot», qui n’a plus joué depuis le film choral «Sous les jupes des filles» il y a deux ans, estime «qu’il ne faut pas oublier de vivre pour savoir jouer, pour offrir des interprétations nourries».
«Je mets du cinéma dans ma vie, mais ma vie ce n’est pas le cinéma. Sinon je ferais des films les uns après les autres», ajoute cette icône du cinéma français, révélée au grand public en 1974 dans «La Gifle» de Claude Pinoteau alors qu’elle n’avait pas 20 ans.
Ceci dit, «j’ai toujours dit que ma vie ressemblait à du cinéma, et qu’à cause de ça je devrais peut-être faire plus de cinéma!», plaisante l’actrice aux célèbres yeux bleus, le visage entouré d’un long rideau de cheveux bruns, vêtue d’une robe à fleurs et coiffée d’un chapeau de paille.
«Carole Matthieu» de Louis-Julien Petit, réalisé pour Arte qui devrait le diffuser en novembre, et pour lequel elle espère ensuite «une sortie en salles de façon modeste», est adapté du roman «Les Visages écrasés» de Marin Ledun.
Isabelle Adjani, qui l’a découvert grâce à Jean-Paul Lilienfeld, le réalisateur «qu’elle affectionne» de «La Journée de la jupe» - autre fiction réalisée pour Arte puis sortie en salles, qui lui avait valu un César en 2010 -, avait mis une option sur les droits du livre.
Le film a été finalement tourné par Louis-Julien Petit, réalisateur de «Discount».
Productrice associée de «Carole Matthieu», Isabelle Adjani dit «aimer vivre toute l’histoire (d’un film) du début à la fin». «J’ai toujours plus d’énergie quand je participe. Je préfère participer qu’obéir», lance-t-elle.
«Nous, les acteurs, on sait ce qu’il nous faut, on sait là où on excelle. Tout acteur (...), en mettant une option sur les droits d’un livre et en trouvant une production intéressée, un scénariste convaincu et un metteur en scène passionné, peut faire exister le meilleur rôle de sa vie».
- Un film sur Valadon et Utrillo ? -
«Carole Matthieu», dans lequel elle campe le médecin d’une entreprise qui harcèle ses employés, raconte «le combat d’une femme qui va aller jusqu’à se sacrifier pour le bien-être des salariés qu’elle défend», raconte-t-elle.
«On vit ce qu’elle traverse jusqu’au dédoublement de personnalité: elle se bat pour les autres, et en même temps elle est prise dans une spirale destructrice» car «elle est elle-même dans un mal être».
Ce film offre à l’actrice un rôle de femme passionnée, tourmentée et fragile, comme ceux qu’elle a souvent joués, de «L’Histoire d’Adèle H» de François Truffaut à «Camille Claudel» de Bruno Nuytten.
«Ce n’est pas un objectif en soi dans ma vie de rechercher le tourment chez un personnage, mais en tout cas sa profondeur, sa force, ses luttes, ses faiblesses, toute la complexité», explique-t-elle.
«Bien sûr j’aime bien les personnages qui sont complexes, comme l’est la nature humaine, ce qui ne m’empêche pas d’apprécier les comédies romantiques super bien réussies».
Pour l’avenir, celle qui a été sacrée cinq fois meilleure actrice aux César - un record inégalé - dit avoir d’autres projets, mais préfère ne pas trop en parler.
«Plus le temps passe et plus j’ai une exigence», dit-elle.
Parmi eux, elle cite quand même l’histoire de la relation entre la peintre Suzanne Valadon et son fils Maurice Utrillo, «un projet qui existe» mais qui reste à concrétiser.
«J’aimerais le faire avec Pierre Niney dans l’absolu», ajoute-t-elle. «Il y a un profil, un portrait d’Utrillo qui est juste lui», s’amuse-t-elle à propos de l’acteur d'«Yves Saint Laurent».
Devenue rare au cinéma, l’actrice de «L’Eté meurtrier» et «La Reine Margot», qui n’a plus joué depuis le film choral «Sous les jupes des filles» il y a deux ans, estime «qu’il ne faut pas oublier de vivre pour savoir jouer, pour offrir des interprétations nourries».
«Je mets du cinéma dans ma vie, mais ma vie ce n’est pas le cinéma. Sinon je ferais des films les uns après les autres», ajoute cette icône du cinéma français, révélée au grand public en 1974 dans «La Gifle» de Claude Pinoteau alors qu’elle n’avait pas 20 ans.
Ceci dit, «j’ai toujours dit que ma vie ressemblait à du cinéma, et qu’à cause de ça je devrais peut-être faire plus de cinéma!», plaisante l’actrice aux célèbres yeux bleus, le visage entouré d’un long rideau de cheveux bruns, vêtue d’une robe à fleurs et coiffée d’un chapeau de paille.
«Carole Matthieu» de Louis-Julien Petit, réalisé pour Arte qui devrait le diffuser en novembre, et pour lequel elle espère ensuite «une sortie en salles de façon modeste», est adapté du roman «Les Visages écrasés» de Marin Ledun.
Isabelle Adjani, qui l’a découvert grâce à Jean-Paul Lilienfeld, le réalisateur «qu’elle affectionne» de «La Journée de la jupe» - autre fiction réalisée pour Arte puis sortie en salles, qui lui avait valu un César en 2010 -, avait mis une option sur les droits du livre.
Le film a été finalement tourné par Louis-Julien Petit, réalisateur de «Discount».
Productrice associée de «Carole Matthieu», Isabelle Adjani dit «aimer vivre toute l’histoire (d’un film) du début à la fin». «J’ai toujours plus d’énergie quand je participe. Je préfère participer qu’obéir», lance-t-elle.
«Nous, les acteurs, on sait ce qu’il nous faut, on sait là où on excelle. Tout acteur (...), en mettant une option sur les droits d’un livre et en trouvant une production intéressée, un scénariste convaincu et un metteur en scène passionné, peut faire exister le meilleur rôle de sa vie».
- Un film sur Valadon et Utrillo ? -
«Carole Matthieu», dans lequel elle campe le médecin d’une entreprise qui harcèle ses employés, raconte «le combat d’une femme qui va aller jusqu’à se sacrifier pour le bien-être des salariés qu’elle défend», raconte-t-elle.
«On vit ce qu’elle traverse jusqu’au dédoublement de personnalité: elle se bat pour les autres, et en même temps elle est prise dans une spirale destructrice» car «elle est elle-même dans un mal être».
Ce film offre à l’actrice un rôle de femme passionnée, tourmentée et fragile, comme ceux qu’elle a souvent joués, de «L’Histoire d’Adèle H» de François Truffaut à «Camille Claudel» de Bruno Nuytten.
«Ce n’est pas un objectif en soi dans ma vie de rechercher le tourment chez un personnage, mais en tout cas sa profondeur, sa force, ses luttes, ses faiblesses, toute la complexité», explique-t-elle.
«Bien sûr j’aime bien les personnages qui sont complexes, comme l’est la nature humaine, ce qui ne m’empêche pas d’apprécier les comédies romantiques super bien réussies».
Pour l’avenir, celle qui a été sacrée cinq fois meilleure actrice aux César - un record inégalé - dit avoir d’autres projets, mais préfère ne pas trop en parler.
«Plus le temps passe et plus j’ai une exigence», dit-elle.
Parmi eux, elle cite quand même l’histoire de la relation entre la peintre Suzanne Valadon et son fils Maurice Utrillo, «un projet qui existe» mais qui reste à concrétiser.
«J’aimerais le faire avec Pierre Niney dans l’absolu», ajoute-t-elle. «Il y a un profil, un portrait d’Utrillo qui est juste lui», s’amuse-t-elle à propos de l’acteur d'«Yves Saint Laurent».
Petit reportage BFM
ave une trop courte interview d'isabelle et un discours plutôt dithyrambique de la journaliste sur le film et la prestation d'isabelle
Lien BFM
Merci à Martin pour le lien
Reportage sur France 3 national
Emission Cinéma animé par B Montiel, interview du réalisateur Louis julien Petit
CI Né Ma - Emission 166 from Agence Ciné on Vimeo.
Grand merci à Tazyzas
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