TCHAT

19 octobre 2014

Vanity Fair France -novembre 2014 (màj : couv découverte)

Qui sera en couverture du prochain Vanity Fair (ed France) ???


La photo qui se cache en dessous doit vous donner un bon indice ...


 
 

7 commentaires:

Anonyme a dit…

La Reine Margot !
J'ai gagné quoi ?!
Le p'tit quimpérois .

Anonyme a dit…

Alleluja allelu alleluja
Le mariage !
Le P'tit k'alciné

Anonyme a dit…

on nous refait le coup des photos vieilles de 20 ans comme pour le Vogue
ne vaudrait il pas mieux parler présent ou se concentrer sur l'avenir?

Anonyme a dit…

Très belle couverture, belle prise de François-Marie Banier qui a contribué, par ses portraits d'Isabelle, à la légende de l'actrice. Le film en lui-même compte selon moi pour son dernier plan, Isabelle dans le carrosse, ce visage beau et étrange qui part en exil avec la musique de Goran Bregovic. Le film vaut pour ce plan, pourrait n'être que cela. Le reste est très volontaire, luxueux, prestigieux, ambitieux, mais reste coincé dans un entre-deux très bien expliqué par l'article de Vanity Fair : il y avait trop d'envies et trop d'envies divergentes sur ce film, et ces différents cercles sur le tournage: le cercle Chéreau,toute la cour du maître, le cercle des exclus du prestige, aux origines moins "nobles"comme Daniel Auteuil qui rappelle qu'il vient, lui, - horreur !- du café-théâtre, le cercle des acteurs-coqs qui s'affrontent... Il y avait la star à part, reine difficile selon les propres termes de Chéreau, il y avait un metteur en scène qui se voulait le nouveau Martin Visconti ou le nouveau Luchino Scorcese, étonnamment moins sûr de lui qu'on se l'imaginerait malgré son extraordinaire renommée au théâtre et déjà quelques films avec Charlotte Rampling, Simone Signoret... Bref, beaucoup d'ingrédients pour un plat au final ni indigeste ni tout à fait savoureux.

Anonyme a dit…

Somptueux dossier de 14 pages, un article choral où tous les protagonistes du film s'expriment, à l'image de ce film opéra, avec toute une troupe de comédiens, et des moyens dont il est qu'on ne pourrait plus faire un film pareil aujourd'hui. Chereau tourmenté et génial, Berry producteur fabuleux, du rêve sur grand écran. Donnons au temps la distance pour subliner ce chef d'oeuvre. Un article à lire absolument, truffé d'anecdotes, vivant et humain. Lama Bruno

Anonyme a dit…

A lire donc tout comme un magnifique portrait dans l'obs à paraître demain ,fibu

Blanc -Bougnat a dit…

Magnifique reportage qui m'a serré le cœur. Sublimes photos. On y retrouve la magie de ce film ensorcelant. Et des témoignages sur Isabelle, sa complexité, sa résistance à être dirigée par Patrice Chéreau, malgré l'admiration et l'amour qu'elle lui portait. Je pense qu'Adjani est une actrice médium. c'est en cela que sa carrière ne ressemble à aucune autre. Elle se laisse guider par des intuitions, des ressentis,envers et contre tout. Elle n'en rabat sur rien, au risque de ne plus rien jouer ou presque, au cinéma en tout cas. Son rapport au miroir est terrible. Son père lui disait "Sors de là tu salis la glace". Elle s'est vengée en se disant qu' elle ne la salirait plus jamais la glace et qu'elle serait sublime coûte que coûte. Dans un "Glamour" de mars 1993 elle disait: "Plus jeune, en me regardant dans le miroir, je voyais que j'avais le choix entre être belle ou laide. J'ai choisi la supercherie d'être belle". Elle a tout compris Isabelle et depuis longtemps. Alors pourquoi faire photoshoper chaque image de "Sous les jupes des filles" à ses frais pour gommer la moindre aspérité du temps et...du coup... de l'émotion? On ne le saura pas.

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