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9 octobre 2014

Truffaut par Adjani (mà j samedi 11/10)

Cette semaine Isabelle évoque dans Télérama le grand réalisateur de l'histoire d'Adèle H.






Sur le site de Télérama, on peut lire un  un bel article sur Truffaut et les actrices de ses films ...



Comment Truffaut tombait-il amoureux de ses actrices ?, je vous mets ici le passage concernant Isabelle .

Isabelle Adjani


François Truffaut et Isabelle Adjani sur le tournage
 
François Truffaut et Isabelle Adjani sur le tournage de L’Histoire d’Adèle H. - Photo : Bernard Prim © Monique Prim

Comme Fanny Ardant, découverte sur un écran de télé, Adjani apparaît au cinéaste dans une captation de L'Ecole des femmes. Nous sommes en septembre 1974, Adjani la divine a 19 ans, une beauté céleste et l'air de tomber de la lune. Le cinéaste tombe d'abord en pâmoison (et en larmes) devant son écran. Il lui écrit une lettre pour lui proposer le rôle d'Adèle H., qu'il avait songé, dans les années 70, à confier à Deneuve : «Vous êtes une actrice fabuleuse et, à l'exception de Jeanne Moreau, je n'ai jamais senti un désir aussi impérieux de fixer un visage sur la pellicule...»
Il s'échine à faire sortir Adjani de la Comédie française, qui ne veut pas lâcher sa prodige pour un tournage aussi long. En vain. Le personnage d'Adèle H. vaut bien une rupture : sous l'insistance de Truffaut, Adjani rompt son contrat avec la vénérable institution. « De façon très romanesque, Truffaut a enlevé Isabelle Adjani, l'a arrachée du théâtre pour l'inventer star de cinéma », écrit Jean-Marc Lalanne dans Le dictionnaire Truffaut. Sur la petite île anglo-normande, loin de tout, l'atmosphère est suffocante, obsessionnelle. Truffaut est très amoureux d'Adjani, comme envoûté par son aura surnaturelle. « Le soir, mes yeux et mes oreilles sont fatigués de l'avoir trop fortement regardée et écoutée toute la journée », dit-t-il au sortir de ce tournage éreintant. De son côté Adjani confiera bien plus tard : « J’étais très consciente que ce film était un prétexte pour me filmer. Il tombait amoureux de son actrice, bien trop jeune pour répondre aux avances d’un metteur en scène bien trop expérimenté, bien trop réputé pour séduire les actrices avec lesquelles il tournait. Mais il était parfaitement irrésistible, ça aurait pu exister… »

Vous pouvez lire l'article en entier sur ce lien

Par ailleurs, Télérama a demandé à Isabelle de parler de François Truffaut , ses propos sont retranscris dans ce numéro

Dans ce numéro une photo géniale et inédite d'Isabelle avec Truffaut et un article très bien rédigé , où l'on dirait qu'isabelle s'adresse directement au lecteur, on est vraiment dans la conversation ...

Bientôt sur le blog ^^

Le site France inter s'en fait écho avec ce petit compte rendu de presse de Bruno Duvic :

40 ans après leur rencontre, lorsqu'Isabelle Adjani parle de François Truffaut elle semble parfois au bord des larmes. Truffaut lui a jeté un sort, dit-elle, il a posé devant elle toutes les cartes. Elle avait 19 ans, elle se dit aujourd'hui que ce film qu'il lui proposait, « L'Histoire d'Adèle H. », et que ce cinéaste, lisaient dans son avenir d'actrice, dans son avenir tout court. Cela fait 30 ans que l'homme qui aimait les femmes est mort. Après France Inter, vendredi dernier, Télérama lui rend hommage cette semaine avec ce magnifique récit, recueilli par louis Guichard, d'une rencontre et d'un tournage par la très rare Isabelle Adjani.

François Truffaut avait découvert Isabelle Adjani dans « L'Ecole des femmes », à la comédie française. Il a commencé par lui envoyer une lettre, pour lui dire son "désir impérieux" de fixer son visage sur la pellicule, "tout de suite, toutes affaires cessantes".
Première rencontre. "Je trouvais sa ferveur exagérée, dit la comédienne. Il me regardait abasourdi. Pour lui c'était sans appel. Il concevait ce film comme un morceau de musique, pour un seul instrument. »
1975, début du tournage dans l'isolement de l'île de Guernesey. Suzanne Schiffman, la collaboratrice de Truffaut, leur attribue deux chambres voisines à l'hôtel. Il glisse souvent des mots sous la porte. « A mon retour, raconte Isabelle Adjani, ma mère a fouillé dans mon sac et elle a trouvé ces lettres. »
Pendant les prises, leçon de cinéma, de cinéphilie. « J'ignorais qu'avec un grand cinéaste, le travail est parfois simple, indolore, agréable, il me l'apprit. »
Et pourtant… « Il m'est arrivé de frapper à sa porte et de le trouver prostré dans une angoisse indescriptible. Contre ses migraines, il avalait de l'aspirine avec du Champagne, comme Marlene Dietrich.
Sur le tournage, conclut Adèle-Isabelle, lui et moi nous raccrochions à la solidité du scénario mais il y avait ses abimes à lui et les miens, que j'ignorais encore et qu'il me révélait dans un geste de cinéma sublime, magnifique cadeau de consolation. »

Merci à Bruno pour l'info

18 commentaires:

Anonyme a dit…

Un grand merci Fred pour toutes ces news, ce Télérama c'est génial. Si Isabelle était restée au Français, je me demande ce que ça aurait donné. Elle a un tel désir d'indépendance et une telle exigence. Se serait elle pliée à cette discipline et ces contraintes permanentes à mesure que son jeu se déployait? J'en doute. je pense qu' Isabelle Adjani est avant tout un auteur plus qu' une actrice. Auteur de sa propre histoire. Pour les distributeurs de gazettes on parle de "distributeur indépendant" sur leur fiche de paye. Pour Isabelle ça devrait être écrit "actrice indépendante". Comment concilier de telles contradictions sur le long cours? Une telle puissance de jeu qui se suffit presqu'à elle-même avec des réalisateurs qui veulent orienter, voire manipuler ce jeu(c'est la quintessence de la direction d'acteur). Quand elle dit qu' après "Camille Claudel" elle n'aurait aimé tourner qu' avec Bruno Nuytten, je pense qu' elle s'illusionne: elle se serait vite sentie appropriée et dénaturée, même par lui, parce qu'il est avant tout un cinéaste quand il est sur un plateau. Pareil pour Depardieu chez les acteurs ou actuellement Julien Collet Vlanek. Elle croit que parce qu'ils la connaissent et l'aiment, cela va changer quelque chose mais le processus est toujours le même. Je pense qu'il y a, en plus d'une nature insoumise, une réactivation de la soumission au père, vécue si douloureusement. Isabelle veut être au centre du film, comme elle était au centre de la relation à son père, mais "cette fois-si", en dominant la situation. Et elle n'y arrive jamais, sauf en tournant des trucs très mauvais. Parce que qu'une actrice ne peut maîtriser les choses. Et cette nécessité à garder le contrôle, parfois obsessionnellement est précisément arrivée à partir de 1983 (après l'été meurtrier) année du décès de ce père. A partir de là, professionnellement et personnellement les choses se sont vraiment compliquées pour elle. Comme si une forme d' inconscience et d'énergie vitale s'étaient envolées avec lui.

Blanc Bougnat a dit…

10:37 Blanc Bougnat

Anonyme a dit…

Blanc Bougnat est autant psy de star que je suis mécano des fluides. Il y a eu tant de films magiques y compris après l'été meurtrier. Ne soyons compliqués dans notre plaisir. En attendant Kinship. Bruno

Blanc Bougnat a dit…

Psy de star non. Essayer de comprendre le parcours atypique d'Isabelle Adjani, oui. Ce blog est fait pour cela aussi, cher Bruno. Soyez un peu couillu, prenez quelques risques interprétatifs et décodez la mécaniques des fluides. Vous allez adorer et apprendre plein de choses. Et ne craignez rien, personne ne vous jugera, vous.

fredjani a dit…

C'est toujours compliqué de modérer des commentaires , c'est à dire déjà les supprimer avant même la lecture des autres, car on sait que certains commentaires vont faire parler, critiquer ...
Bref ici pas de quoi fouetter un chat , je trouve l'analyse de Blanc Bougnat intéressante, mais je ne suis pas sûr qu'elle convienne à l'intéressée ... Donc pas la peine de se quereller là dessus ...Je comprends que Bruno réagisse ainsi ... car on s'insinue finalement dans la vie d'Adjani pour dire vous voyez parce qu'elle a eu telle problématique , elle agit ainsi ... C'est sûrement plus complexe ...mais ça vaut le coup par contre d'écouter les perceptions de chacun ...tant que vous restez courtois entre vous ... ^^

Anonyme a dit…

Parler à la place des artistes est une malhonnêteté intellectuelle, les instrumentaliser comme les réduire à des stéréotypes aussi, ça fait un moment que Blancbougnat pontifie avec sa morve, et ce n'est pas un critique averti autant que je sache, alors un peu de modestie et du recul ça ne peut pas faire de mal. Bruno

Blanc Bougnat a dit…

Cher Bruno.
D’abord un artiste dont on ne parle pas n’existe pas : il existe dans le regard des autres : dans ce qu’il donne à voir et ce qu’on renvoie de son travail. N’importe quel spectateur sensible et attentif en a la prescience. Ensuite, je ne vois aucun stéréotype ici. Isabelle Adjani est complètement à part dans ce métier, admirateur et détracteurs vous le diront. Ce processus décrit ne concerne qu’elle, il lui est personnel et très différent de la démarche des autres artistes, particulièrement des autres actrices. Donc quel stéréotype, et quelle instrumentalisation ? Ce sont des perceptions que j’ai, elle n’engagent que moi, elles sont le fruit de réflexions certes partielles et partiales, mais je suis fier de les exprimer. Je pense qu’ aimer les gens ce n’est pas faire comme si tout allait bien, c’est creuser, analyser, prendre le risque d’être maladroit, intrusif, à côté de la plaque, pour finir par toucher à une forme de justesse, même très partielle. On ne pourra jamais savoir ce qui conditionne un choix, un comportement, des peurs et des renoncements, mais on peut s’en approcher. Si Fred ne souhaite plus de ces choses-là sur son blog, je cesserai de les exprimer. Si Bruno veut laisser un commentaire « ouais super c’est génial la pièce est encore reportée mais on va la revoir bientôt youpi-you », grand bien lui fasse mais ce ne sont pas de ses commentaires dont je tiendrai compte. Car si Isabelle n’ a pas besoin de mes analyses qu’on peut trouver « à l’ emporte- pièce », elle se contre fout encore bien davantage qu’on vienne l’admirer avec des yeux de lamas sans aucun regard critique (et pour moi « critique » est le contraire de « malveillant ») sur son travail et son parcours. En outre l’argument d’être un critique professionnel pour être légitime à s’exprimer est une tyrannie parmi d’autres : quand je vois les horreurs écrites par de soi-disant professionnels sur elle, je rigole. Ecrire avec une carte de presse dans un journal à grand tirage ne légitime rien du tout.
Belle journée à vous tous… et vive Isabelle Adjani

Anonyme a dit…

Dire que sa filmographie s'arrête à l'été meurtrier est absurde, réduire ses choix de personnages à une relation au père est caricatural, vouloir l'enfermer à la comédie française est un non sens, s'imaginer qu'elle lit ce qu'on dit sur ce blog est naïf, celui qui a écrit le mythe de l'incarnation développé des idées originales avec nuance et précaution, tout ce qui manque à certains. Youpi youpla ! Lama Bruno

fredjani a dit…

Arfff Bruno ...ce n'est pas en caricaturant les propos de Blanc Bougnat que vous vous parlerez ..il ne dit pas que la carrière d'isabelle s'arrête après l été meurtrier, il dit qu'elle se complique ...c'est différent ....
Ensuite désolé de le rappeler mais oui Isabelle Adjani et son staff connaissent le blog ...et son entourage le lit je suppose pour elle, c'est en tout cas les échos que j'en ai eu ...
Et oui tu as raison il faut lire le livre d'Arnaud Duprat ...
Et je re ... insiste chacun a le droit d'avoir son avis ...
Comment 2 personnes comme vous passionnés par la même artiste n'arrivent pas à s'écouter ... C'est dommage ...

Blanc-Bougnat a dit…

Oui Fred, merci d'apporter un peu de fraîcheur et de clairvoyance dans cette micro-tempête. Toi tu peux témoigner, tu connais le style et le ton de mes commentaires, jamais insultants, souvent axés certes vers l'intime et la relation au père (ce qui peut déranger je le concède) car Isabelle Adjani a toujours dit que les films étaient "la répétition de ce qu'elle était". Et de "La gifle" à "Camille Claudel", en passant par "L'été meurtrier", "Mortelle randonnée" ou" Tout feu tout flamme", en plus de ses interviews qui convoquent l'image paternelle (notamment celle parue dans Paris Match il y a quelques semaines), au fur et à mesure que j'ai découvert ses interviews et ses films, je me suis passionné pour ce rapport qu'elle entretenait avec lui, très complexe, passionné, empêché aussi. Pour Bruno, je crois que je l'ai vexé, et j'en suis désolé.ça arrive ce genre de choses. Je ne peux pas croire que ce soit mes propos
car ils les a complétement déformés alors qu'ils sont là, à portée de relecture. Pour ma part, je continuerai de temps en temps à m'exprimer pour dire mon enthousiasme sur cette immense actrice. Mes déceptions aussi, très fortes depuis "La journée de la jupe". Heureusement, il y a les interviews magnifiques qui nous transportent, sa personnalité si attachante, d'anciennes photos qui ressurgissent, de nouvelles très jolies lorsqu' elles sont naturelles, Kinship que je vais voir le 15 novembre...et ton blog Fred. Je ne crois pas que ce sera la même liberté de parole et la même qualité lorsque le site officiel se créera. Ici c'est un petit laboratoire dans lequel on pèse et soupèse notre désir d'Adjani. un peu...beaucoup...à la folie, tout dépend. Merci de nous tenir au courant de tout et à tout bientôt. Blanc-Bougnat

Anonyme a dit…

je trouve absolument insupportable que vous ne disiez aucun mot des récents événements pour la pièce Kinship. Pour moi, fan depuis 30 ans, Isabelle Adjani signe son arrêt de mort avec cette pièce où elle ne pourra pas redonner de l'ampleur à son talent derrière un grand texte, ni donner la réplique à une autre grande comédienne, elle a choisit un metteur en scène inexpérimenté pour pouvoir tout décider, c'est une ruineuse de talent. Carmen maura se s'est pas laissée faire, elle a eu raison et ni moi ni mes amis n'iront la voir. adjani, je vous le dit, c'est fini.

Anonyme a dit…

Il y a eu des tentatives de site, Anne Claire Schlesinger, de revue, la magnifique et très documenté Isastar, envolés. Pour Kinship c'est la seconde fois que ma place est annulée en raison des 2 reports, quand on n'habite pas Paris c'est compliqué, il faut que je rappelle. On écrit beaucoup sur Adjani, on aime ou on déteste, des réactions tranchées. On peut mettre des thèmes ou des références, ses films sont très différents les uns des autres, donc construire une vision qui a posteriori les lie tous comme un seul je n'y adhère pas. Disques, films, théâtre, lectures, composent un paysage diversifié. Avec de grandes zones d'absence. Du coup les rares présences déclenchent de l'agitation. Autant de retours alors qu'il n'y a jamais eu de départs, c'est drôle. Il est peu tôt pour faire le bilan d'une carrière qui est loin d'être terminée. A suivre. Lama Bruno - disciple de lama Delon (dit le ténébreux) qui vient nous servir à boire.

fredjani a dit…

@ Bruno, j'ai mis le temps , mais j'ai enfin compris le jeu de mots de la fin ... comme quoi toi et Blanc Bougnat avez beaucoup d'esprit ...

@ anonyme ... que dire ...que c'est votre commentaire que je trouve insupportable ... Je ne suis pas le porte parole de l'actrice ... que voulez vous que je dise , je ne connais pas les causes du report de la pièce ...et si même je les connaissais , serait-ce à moi de vous les dire ? ...Va falloir se calmer ...
Je comprends que cela énerve tout le monde ... je l'ai moi même dit étant du sud ouest , on ne peut pas se payer comme cela des allers retours ... et en plus je ne peux pas poser de jours comme je le souhaiterais ....bref rien ne m'arrange dans ce report ...
De plus fustiger Adjani de tous ces désagréments sans rien savoir ; c'est très moyen .... et dire ruineuse de talents , c'est insultant ... Bref merci de mesurer vos paroles ...

vincent a dit…

à mon avis, Isabelle est victime d'elle même et de son besoin de tout contrôler. Et penser qu'elle est toute blanche dans cette histoire, c'est un peu naïf non ?
Ma déception est immense par rapport à Kinship qui était le seul projet qui me faisait vraiment rêver depuis longtemps.

fredjani a dit…

@ Vincent : on peut certainement reprocher des choses à Isabelle ...comme à nous tous ... mais le fait est que depuis 8 ans j'ai une liberté totale sur le blog ... Je n'ai eu qu'un souci lié au film parfums d'Alger ....qu'elle n'a pas tourné ....et je ne rentrerai pas dans les détails , ensuite mon compte twitter qui était trop équivoque ... et qu'on a fait disparaître ...car il se nommait isabelle Adjani et cela pouvait porter à confusion ... bref au final malgré tout je n'ai pas ce constat...ensuite sur le plan travail .... seuls les gens qui ont travaillé avec elle peuvent vraiment en parler ...
Ensuite je ne pense pas être naïf ...ou du moins j'aime l'être quand c'est une qualité ...pas un défaut ...
Enfin , oui, je confirme , on ne sait rien de ce qui s'est passé durant ces répétitions donc ne commençons pas à dire c'est de SA faute ...C'est terrible cela ... je ne rentrerai pas dans les détails mais je vis quelque chose de similaire cette semaine où l'on me rend responsable de faits où j'ai été établi comme victime et non pas coupable... Donc je dis gardons nous bien de juger surtout sans rien savoir ...

Anonyme a dit…

Oui, il est impossible de porter une accusation sur une violente fausse mise en abyme. Adjani a toujours été considérée comme une diva... j'ai vu cette femme... C'est un monstre sacré certes mais laissons-la s'exprimer sur l'affaire Carmen Maura...
Cependant, je suis absolument persuadé que les deux femmes ont des "ego" importants... Pedro A parlait de C. Maura avec laquelle il avait eu une violente altercation et dans ce que disait le réalisateur, tout n'était pas de sa faute à lui.
Cependant, il est l'heure pour Adjani de révéler ce qui s'est passé. Cela évitera des messages équivoques.
(R.B)

vincent a dit…

@ R.B : en même temps, Almodovar et Maura ont tourné ensemble à sept reprises, après ça, comment pouvez vous affirmer qu'ils ne s'entendent pas ? soyons logique...
D'autres part, j'ai pas dit qu'Isabelle était la seule coupable (relisez bien) mais juste laissé entendre que tout le monde avait probablement sa part de responsabilité.
De toute façon,on saura la vérité ou plutôt, on s'en approchera le jour où les 3 protagonistes auront donné leur version des faits.
perso, habitant loin de paris, j'attend d'avoir les retours critiques de la pièce pour me décider de la voir ou pas mais présentement, j'ai pas envie de la voir.(appétit coupé)

Anonyme a dit…

Petit appétit l'oiseau fait son nid (proverbe alsacien). J'aime bien voir les films sans lire les critiques, au feeling, juste comme ça. Pour une pièce aussi, faire sa propre opinion. Ce qu'on sait de quelqu'un empêche de le connaitre, c'est de Christian Bobin et c'est très vrai. Lama Bruno

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