TCHAT

29 janvier 2009

BO de la jupe

Musique de la jupe



On en apprend tous les jours un peu plus sur le film La journée de la jupe : nouveau post cette fois-ci sur la musique du film sur ce lien.





28 janvier 2009

Makali en concert


Ils seront à BORDEAUX - 29/01/09 - Rock School Barbey- le 29 janvier à 21h


Bande annonce du film en HQ


Sortie ciné le 25 mars




 










Rezo Films , distribue la jupe



Le distributeur du film au cinéma commence à dévoiler davantage sur sa toute nouvelle acquisition : La journée de la jupe.

Sur le site, quelques infos concernant le film: distribution, durée... et un dossier avec quelques photos inédites et la reprise de l'interview de J-P Lavoignat retranscrite ici fin décembre.



23 janvier 2009

Photos liées à l'interview "Adjani la rebelle"

 Adjani la rebelle, les photos

Adjani la rebelle-Première n°119-Fev 87-(part 4)



Première : Il vient de se créer une Association des amis d'Isabelle Adjani. Ce phénomène des fans, il existe en dehors de vous, ou vous en êtes consciente ?
I.A. Mes fans sont géniaux. Ils font des choses qui m'épatent. Cette association, ils l'ont faite sans moi, et je trouve ça adorable. Je n'ai pas toujours le temps de répondre à toutes les lettres assez vite. Parfois, je n'envoie que des photos dédicacées, alors que j'aimerais pouvoir leur écrire personnellement. C'est pas l'envie qui m'en manque. Il y a des lettres trop formidables... Mais rien de ce qu'ils m'envoient ne se perd... Sauf si c'est la poste qui merde ! ... Et il m'arrive aussi de parler d'eux à ceux qui sont proches de moi, autant qu'eux peuvent parler de moi chez eux. C'est le temps matériel qui me manque. Mais ces lettres sont parfois tellement émouvantes, que je les mets de côté, pour y répondre plus tard. J'espère qu'ils seront encore là quand je leur enverrai la lettre de retour...


P. Qu'est-ce qui vous a décidé à sortir un nouveau disque ?
I.A. J'ai écouté une cassette des musiques de Santa Maria, tout bêtement. J'ai eu envie de les chanter, tout simplement. Tout est tellement moins compliqué qu'on ne le croit ...Comme tout ce que je fais d'ailleurs...


P. Vous avez envisagé de vous arrêter ?
I.A Et vous , vous avez envisagez d'arrêter les interviews (Rires) ,... Je suis loin d'avoir fait tous les films que je veux faire. J'ai plein de choses à faire. Non, décidément, il vaut mieux que je fasse des films. Quand je ne tourne pas, on me donne un rôle dans ma propre vie, qui est bien plus extraordinaire que n'importe quel mélo porté à l'écran ! Donc il vaut mieux que je réintègre la fiction, pour que la réalité puisse rester à sa place . J'ai lu récemment un livre de Michel Tournier, sur la vie de Jeanne Luynes. C'est beau. c'est un projet que j'envisage très sérieusement. Daniel Vigne va le mettre en scène.


P Lorsque vous ne tournez pas et que vous allez voir des films, est-ce que le regard de l'actrice prime sur celui de la spectatrice ?
I.A.Quand je vois un film, je marche, et je le démonte en même temps...



P.Vous n'avez pas le sentiment que les acteurs, surtout ceux qui ont atteint une totale notoriété, semblent préférer les rôles liés à la douleur, à la mort ?
I.A. J'ai eu la chance d'interpréter des rôles, depuis le début de ma carrière, qui m'ont permis d'aller très loin, tout de suite. J'aime les grands sentiments, au cinéma, même s'ils sont pénibles, mais je peux aussi revendiquer la vie, l'apesanteur, la réversiblité,la frivolité.


P. Pensez-vous que , quand vous tenez un rôle, les spectateurs voient réellement un rôle ? N'y a t-il pas le risque qu'ils voient plutôt Isabelle Adjani en train d'interpréter un rôle ?
I.A. Non, je ne crois vraiment pas.


P. Parce que le public ne sait pas asssez de choses sur vous pour qu'il puisse vous matérialiser en dehors de vos rôles, ou vous superposer à eux ?
I.A. oui, c'est exactement ça...


P. N'avez vous quand même pas le sentiment , comme tout acteur célèbre, donc, surmédiatisé, d'être prisonnière d'une image ?
I.A. J'ai un sentiment mêlé, de liberté et d'apparence. Et je cherche, en permanence à trouver le subtil point d'équilibre entre les deux. Je suis surprise quand Robert Redford parle de la souffrance de l'acteur. je suis étonnée. Il semble clair, à l'aise , insouciant... Ne vous inquiétez pas l'image est là, mais ma vie est ailleurs ...


Propos recueillis par Michèle Halberstadt
Photos Marianne Rosenstiehl

20 janvier 2009

Festival de nouvelles pour la jupe


Une pépite cette jupe !


"Les Globes de Cristal sont les prix de la presse française pour les arts et la culture. Les votants sont les journalistes des rubriques culturelles. Un jury d'une vingtaine de journalistes, présidé par une personnalité de la presse, établit une liste de 5 pressentis dans 12 catégories.Compte tenu du nombre de votants, et surtout de leur disparité géographique, cette manifestation donnera une palette artistique et culturelle nationale." C'est le préambule que vous trouverez en présentation du site de France 3 avec toutes les catégories susceptibles d'être récompensées. Lien ici.



Gala, festival de photos (suite)





Série prise par Hélène Renault.










 

Gala, festival de photos baroques...


Série Patrick Swirc











Lancel : l'Adjani

Lancel : L'Adjani













On en sait un peu plus sur le sac "Adjani", le site Lancel vous présente en détails sa conception, sa création, et ses différentes versions .

Petit catalogue disponible dans tous les magasins, ou bien vous pouvez télécharger le fichier Pdf sur le site. Egalement sur le site, il y a un jeu -concours pour gagner l'Adjani !

14 janvier 2009

Isabelle Adjani se met en scène dans Gala


Voici une des premières surprises que je vous avais "chuchotée" en début d'année : un shooting exceptionnel pour le magazine Gala - Autre surprise : c'est Isabelle qui l'annonce à la fin de cette interview et je vous laisse la joie de la découvrir.
Fait assez rare pour être souligné ce n'est pas un, mais deux photographes qui ont permis ce magnifique numéro : Hélène Renault et Patrick Swirc . Par respect pour leur travail,et pour vous laisser envie d'en apercevoir davantage, durant le temps de vente du magazine , je ne publierai que quelques unes de ces photos.

12 janvier 2009

Reine margot, son jeu de photos




Jeu de photos affichées dans les cinémas lors de la sortie du film.

Le dernier "nabab" s'en est allé...


Le cinéma français est en deuil, il perd non seulement un grand réalisateur : Le maître d'école,Tchao pantin, Jean De Florette, Germinal, Ensemble c'est tout ... et un producteur audacieux : L'ours, La petite voleuse, Amen, La graine et le mulet et bien sûr La reine Margot, pour n'en citer que quelques uns...

Voici un article tiré du Monde :


Deux images perdurent. Celle d'un homme pressé qui affirmait s'être amusé toute sa vie plutôt qu'avoir travaillé, avoir été rongé par des envies auxquelles il résistait rarement. Et celle d'un homme irrémédiablement sinistre, comme hanté par des tourments secrets. Le second masque prit le dessus, ces dernières années, lorsque Claude Berri fut fracassé, miné par une dépression chronique depuis qu'au suicide de sa femme, Anne-Marie Rassam, en 1995, s'était ajouté l'accident de son fils Julien Rassam, qui mourut en 2002 après s'être retrouvé tétraplégique. Soixante quatorze ans, quarante-cinq ans de carrière : avec un mélange de crainte, d'admiration et d'affection, on l'avait surnommé "le parrain", "l'empereur", "le pilier", "le chef de famille" du cinéma français. Le cinéaste Claude Berri est mort lundi 12 janvier à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, des suites d'un accident vasculaire cérébral.
Né le 1er juillet 1934, il avait pris le nom de sa mère comme nom de scène, en y ajoutant un r, pensant que Berri était plus facile à retenir que Langmann. Il le regrettait. Claude Berri disait être resté fils toute sa vie. Fils d'un fourreur juif du Faubourg Poissonnière, acteur-né qui faisait rire tout le quartier ("Il disait qu'il allait mettre De Funès au chômage") et auquel il rendra hommage dans Le Cinéma de papa (1970), il voulut faire carrière au théâtre. En dépit d'un concours gagné, de débuts prometteurs, son profil peine à s'imposer. "Petits rôles, petits rôles. Comme disait mon père : il vaut mieux être balayeur dans les rues que comédien au chômage." Son père disait aussi : "Il faut que tu donnes les cartes !" Berri est devenu un "patron" : auteur, réalisateur, producteur, distributeur. Brasseur de millions.


GRAND COLLECTIONNEUR DE PEINTURES
Son ascension commence en 1963. Son court-métrage Le Poulet décroche un Oscar. Personne n'avait voulu le produire. Lorsqu'il gagne de l'argent, il réinvestit ses profits dans les films des autres : Chéreau, Annaud, Balasko, Zidi, Almodovar, Kechiche… "Produire est un moyen d'éviter de penser à soi-même. A un moment, j'en ai eu assez de me regarder le nombril. Je n'ai jamais voulu faire des affaires. J'ai partagé le magot." En y laissant des plumes : Tess, de Polanski, l'endetta jusqu'au cou.
La passion avec laquelle il s'acharne à aider Milos Forman est un bel exemple de sa ténacité. Cette année-là, il n'a pas un rond, mais sûr du talent du jeune cinéaste tchèque, il achète Au feu les pompiers et négocie sa sortie. Accompagnant Forman à Prague, Berri pense en son for intérieur : "Son prochain producteur ne sera pas Lelouch mais moi." Ne dédaignant pas de jouer ici et là (dans Stan le flasher de Serge Gainsbourg par exemple, peu soucieux de son image, jusqu'à la provocation), Claude Berri a fondé l'ARP (Association des auteurs, réalisateurs, producteurs) en 1988, instance majeure pour défendre les droits de ses camarades lors des négociations du GATT (accord général sur les tarifs douaniers et le commerce), et sur la télévision à péage. Elu président de la Cinémathèque française en 2003, il devient celui qui peut obtenir des subsides du pouvoir et initier une mutation vers la modernité, ouvrir des expositions. Il était aussi un grand collectionneur de peintures et de photographies. Il date sa passion de 1954, lors d'une visite à l'exposition que consacrait le Musée de l'Orangerie à Van Gogh. Au début des années 1970, il acquiert sa première œuvre, une gouache de Magritte. Il s'intéresse ensuite à l'art déco, puis, confiait-il, a "une sorte d'hallucination" : "J'ai entendu des voix me dire qu'il fallait que je vende ma société de production pour acheter de la peinture…" Jean Dubuffet, d'abord, puis l'américain Robert Ryman, dont il possédait la plus importante collection au monde. Il disait collectionner "pour apprendre" et ajoutait : "La connaissance passe par la possession." En 1990, puis en 2008, il avait ouvert, d'abord rue de Lille et ensuite dans le Marais, des espaces où il organisait des expositions d'art contemporain.
Mais c'est comme cinéaste qu'il s'exprimait le plus ouvertement. "Je n'aime pas le cinéma confidentiel", écrivait-il dans ses mémoires. Il n'était pas hostile, par contre, au cinéma de confidences. C'est dans sa propre vie qu'il a puisé le matériel d'une grande partie de ses films. "On m'en a fait le reproche, insinuant que je n'avais pas d'autre source d'inspiration." François Truffaut l'en félicitait : "Claude Berri n'est pas un metteur en scène cinéphile, il ne se réfère pas aux films existants mais à la vie elle-même, il puise à la source, il a d'abord des histoires à raconter." Ainsi Le Vieil homme et l'enfant (1966), un sujet qu'il avait raconté à Godard "avec l'espoir de l'intéresser" : "Il m'a conseillé de l'écrire moi-même." Un gamin juif sous l'Occupation. Une évocation de son enfance, à la fin de la guerre, "où j'étais caché sous un faux nom chez de braves vieux, admirateurs du maréchal Pétain. Pour moi, ce n'était pas seulement un film sur l'antisémitisme, mais sur les préjugés, la bêtise". En 1968, Mazel Tov ou le mariage : Claude Berri y entame une série où il joue lui-même le personnage principal. "Quand j'ai écrit cette histoire de mariage, je n'étais pas encore marié. Ce n'était pas mon expérience que je racontais, mais plutôt mon appréhension d'être marié." Berri au service militaire : Le Pistonné (1969). Berri fasciné par la libération sexuelle des années 1970 : les clubs échangistes dans Sex shop (1972), jalousie et crise conjugale dans Le Mâle du siècle (1974). La Première fois (1976) : l'adolescent Claude Langmann victime de la misère sexuelle dans les années 1950.

"MA VIE NE ME FAISAIT PLUS RIRE"
Apparemment, la veine autobiographique s'arrête là. Claude Berri passe à la fiction pure, à l'adaptation de livres, semble abandonner les films personnels. "Ma vie ne me faisait plus rire, je ne pouvais plus la raconter. Tout ce que j'avais vécu dans mon enfance, dans ma jeunesse, même les moments les plus tristes, avec le recul je les trouvais drôles. J'arrivais à en rire et à faire rire. Mais le jour où ma vie a basculé, où la mère de mes enfants est tombée malade, je ne pouvais plus rigoler." Claude Berri transforme Coluche en prof soixante-huitard qui laisse le bordel s'installer dans sa classe (Le Maître d'école, 1981), puis en flic à rouflaquettes reconverti en pompiste alcoolique (Tchao Pantin, 1983). Il rend hommage à Marcel Pagnol : Jean de Florette et Manon des sources (1986), signe sa trilogie historique française : Uranus d'après Marcel Aymé (1990), Germinal d'après Emile Zola (1993), Lucie Aubrac (1996).
Mais il n'a pas totalement refoulé ses souvenirs : dans Je vous aime (1980), il fait revivre à Catherine Deneuve l'émoi de ses propres rencontres amoureuses, la souffrance de ses ruptures. "A travers son personnage, je cherchais à comprendre comment on peut faire sa vie en plusieurs fois, moi qui avais toujours cru que je la ferais en une." Plus qu'une comédie sur le Viagra, La Débandade (1999) est une autodérision sur la perte du désir. Adapté de Christian Oster, Une femme de ménage (2002), qui montre un homme prostré depuis le départ de sa femme, porte les traces de sa dépression. C'est à ce moment-là que Claude Berri rencontre Nathalie Rheims. L'un reste, l'autre part (2005) évoque cette période. Comment refaire sa vie. La culpabilité qui en découle.
Pour être complet, il faut citer A nos amours de Maurice Pialat, qui vécut un temps avec Arlette Langmann, la sœur de Claude. Pialat y incarne le père Langmann, Arlette est jouée par Sandrine Bonnaire, et Claude Berri par Dominique Besnehard. Les rapports de Pialat et de Berri (producteur de L'Enfance nue) étaient compliqués. D'où la réplique vacharde adressée au fils : "Moi je me disais, ce gars-là, il pourra devenir une sorte de Pagnol contemporain… Où il en est ?"
Berri avait un fantasme : écrire, devenir "le Paul Léautaud de la rue Lincoln". Il raconte sa vie dans Autoportrait, dont est extraite la majeure partie des propos de cet article (éditions Léo Scheer). Il est mort en plein tournage de Trésor, un film avec Alain Chabat et Mathilde Seignier évocateur du couple qu'il formait avec Nathalie Rheims, que celle-ci compte mener à bien.
Jean-Luc Douin

Voici un lien pour connaître tous les hommages rendus ces prochains jours à la télévision.


Toutes nos pensées ce soir vont vers sa famille.

10 janvier 2009

La journée de la jupe au cinéma !


Quelle belle semaine pour ce film ! Après avoir été sélectionné pour Berlin , le site Pure people annonce que celui-ci a trouvé un distributeur pour les salles obscures : Rezofilms. Sa sortie est annoncée pour le 25 mars, soit quelques jours après sa diffusion sur Arte... Lien ICI
A suivre ...


Reportage russe sur l'expo Lorieux


 


Je vous remets ici le lien russe donné par Tazyzas , qui livre un reportage avec (à défaut des paroles ) des images intéressantes.
On alterne interview des protagonistes, des visiteurs de l'expo , du photographe et reprise des trop rares images du Jt de tf 1 (Il y avait quand même à l'origine 3 minutes d'interview ....arffff!) et les fameuses images issues du Dvd qui tourne en boucle à l'expo.

Vidéo en forme de voeux


Joli montage réalisé par sewel 2009 , qui a dû travailler dans l'équipe qui a accompagné Jean-Daniel Lorieux, puisque toutes ces images ne sont pas issues du dvd, mais de ses propres archives.
Ca rend ces images encore plus uniques, merci pour ces jolis voeux.

7 janvier 2009

La jupe à Berlin

Journée de la jupe à Berlin


Info maintes fois annoncée et enfin confirmée, La journée de la jupe fera bien Berlin courant février dans la section Panorama.




Voeux de Lancel




 

Pour vous faire patienter, voici une jolie photo envoyée par Estelle , prise le 1er janvier à Bruxelles.
On peut dire que Lancel voit les choses en grand pour leurs voeux !

6 janvier 2009

Site de Xavier Lambours



Rappelez vous de ces jolies photos vues, dans STUDIO, VSD, et Palace Costes.
Voici une photo cadrée bien plus large (identique à celle en haut à droite du quatuor) qui nous donne davantage de détails...

Musique

Vous disposez à présent d'un plus grand choix d'écoute musicale dans la partie à droite du blog : la quasi-totalité de l'album éponyme d'Isabelle Adjani ainsi que quelques titres bonus ...
J'agrémenterai ces chansons avec quelques nouveaux bonus...

5 janvier 2009

J-D Lorieux m'écrit ...




Comme je vous l'annoncais samedi , la superbe expo prolonge notre plaisir de voir un peu plus Isabelle Adjani , ainsi que les autres participants .
En ouvrant mes mails j'ai été très flatté de trouver celui de ...Jean-Daniel Lorieux qui m'a fait le plaisir de confirmer cette nouvelle, (voir ci-dessous) .





 Annonce également relayée par Xavier Samson, il m' a par ailleurs assuré que certaines photos issues du coffret seraient vendues à l'unité , mais le prix n'est pas encore connu...


Cher Fred,
Nous vous souhaitons une très belle année.
En ce qui concerne l'exposition,vu le succès remporté,elle est prolongée jusqu'au 24 janvier à la galerie Ariane Dandois.
Vous pouvez peut être l'annoncer sur votre très beau site sur Isabelle.Bravo !
Vous pouvez me contacter si vous le désirez je vous laisse mon numéro:
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Bien à vous
Jean Daniel Lorieux

Camille Claudel *20 ans*


Trois nouvelles et jolies captures de ce superbe film...

2 janvier 2009

7 janvier , 1er jour des soldes




Pour certains ce sera la première journée de soldes !!!
Mais pour d'autres ce sera l'occasion d'acheter ou tout simplement admirer en vitrine le nouveau sac Lancel : L'Adjani ...



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